fin mars (pfiou ca prend du temps un blog... heureusement que j'en ai !)
Lundi 26 mars : retour de Lvov,
dodo, entretien téléphonique, et Turkish party !
Oui, nous
sommes rentrées vers 13 heures. Après une douche, un entretien téléphonique de
chez Délifrance pour confirmer mon stage chez eux dès juillet 2007, j’avais
rendez-vous avec mon lit.
Le
soir, c’était soirée Turque ! Et, à
la guitare, Murat !
(Et à la
batterie, Caro, c’était qui ? hi hi hi)
On a eu le droit d’apprendre à danser une (soi-disant ?) danse typique
Je dis soi-disant, parce que je me demande si nous, la farandole, c’est vraiment typique des français …Enfin c’était amusant quand même !
Photo quelque peu
compromettante, je l’avoue, et on dirait que je vais vraiment tuer quelqu’un.
Mais pour ma défense, on ne faisait qu’interpréter la chanson qui passait (sans
doute une chanson…de merde, au passage, comme trop souvent en soirée ici…)
Dans la semaine qui a suivi,
comme c’était tout nouveau chez moi, j’ai essayé d’inaugurer la cuisine et
l’espace vital qui sont si grand, si grand, qu’on s’y perdrait !
Donc
Georg et Kathi sont venus, Georg pour préparer des naans, des fruits de mer,
des pâtes, ou je ne sais plus trop quoi d’autre, Kathi pour m’aider à préparer
la salade.
Premier
dîner en communauté dans mon nouveau chez moi : « Naan party »
avec Kathi et Georg ! Merci Georg, pour ton savoir-faire indien ! (petit probleme de flash sur cette photo, j'ai bien peur !)
La
prochaine fois, j’aurai la recette du poulet Khorma, et ce sera encore plus
mieux !
Kathi, pour le dessert, me ruinant mon stock de
céréales aux fruits rouges.
Georg en train d’essayer mes lunettes. En plus ça
ne lui va pas trop mal !
Samedi 31 mars : activité peinture sur œufs (jajka painting), en prévision de Pâques !
Non,
Emilie, ça ne comptait pour aucun crédit, ce cours ! Mais c’était un des plus
intéressants depuis mon arrivée à SGGW. Il n’y avait pas grand monde, mais je
pense que c’était exactement ce qu’il fallait, un petit comité, pour pouvoir
peindre plus d’un demi œuf chacun.
Première étape :
Faire comme Mert, vider l'oeuf.
Les
destins des œufs sont alors assez variables : pour certains, l’aventure
est terminée, ils partent au paradis des œufs cassés.
A
ce propos, j’ai une question : au paradis des œufs cassés, les œufs
restent cassés, sont réparés, ou alors ils deviennent carrément des petits
poussins ? Ou des poules ?
Sinon, si
tout se passe bien, on passe à la 2ème étape.
Deuxième étape, on a plusieurs possibilités :
on peut peindre l’œuf, et, dans ce cas, on se bat
pour avoir les belles couleurs de peintures, ou du moins les peintures qui ne
sont pas toutes desséchées. On peut aussi utiliser du vernis à ongles, des
paillettes, des perles…
Whatever
we want !
Autre possibilité : utiliser les bandelettes
magiques polonaises ! C’est u peu de la triche, mais ça rend très bien. Et
quand on ne sait pas tenir un pinceau c’est mieux !
>>...... Trempage dans de l'eau très très trés chaude.........>>
A la fin de l’après-midi, voila ce qu’on avait. Cela va sans dire que je suis très fière des miens, à savoir l'oeuf matrioshka du coin en bas à droite, et des deux autres coins des côtés. Hi hi hi.
Le soir, après des heures de travaux manuels
éreintants, exténuants, crevants, il nous a fallu une distraction : ça
tombait bien, c’était l’anniversaire de Francesco, l’Italien.
Ce qui tombait encore mieux, c’est que le dîner
(repas du soir, Kolacia, souper, ou ce que vous voulez) avait lieu en chambre
605, à savoir à 10 mètres de la mienne ! Les invités étaient donc
principalement des espagnols.
Là,
c’est moi qui fait mumuse avec les bougies du gateau d’anniversaire (Tiramisu
fait maison par Francesco, qui n’a pas fait les choses à moitié. Tiramisu, pas
tsunami, hein emiliotte !)
Il
ne faut pas m’en vouloir, je suis encore jeune dans ma tête, et très pyromane.
Content,
Gaétan…
Santi, du tiramisu, et Francesco
Luis et Quiqué